
Tandis que des rumeurs orchestrées par un intersyndicat controversé tentent de ternir l’image de l’Office Congolais de Contrôle (OCC), la réalité du terrain témoigne d’une tout autre histoire : celle d’un homme, le Directeur Général Étienne Tshimanga, dont le leadership transformateur mérite reconnaissance et respect.
Contrairement aux allégations véhiculées par l’intersyndicat dirigé par M. Abedi Mwanantemba, les faits démontrent que l’OCC, sous la houlette du DG Tshimanga, connaît une modernisation sans précédent depuis sa création.
Des réformes visibles et inédites
Depuis son arrivée à la tête de cette entreprise stratégique, le Directeur Général Tshimanga a placé l’innovation, la rigueur et l’efficacité au cœur de son action :
• Il a fait ériger des laboratoires modernes aux normes internationales à Kasindi, Kasumbalesa et Kalemie, une première depuis l’existence de l’OCC.
• Il a acquis un immeuble à la Gombe pour mettre fin aux locations coûteuses, assurant ainsi une gestion plus rationnelle des ressources.
• Il a construit un bâtiment ultramoderne pour la direction de l’OCC/Maluku, renforçant la présence territoriale de l’institution.
• Il a obtenu la certification de plusieurs laboratoires stratégiques, dont celui de Matadi, renforçant la crédibilité technique de l’Office à l’international.
• Pour la toute première fois dans l’histoire de l’OCC, un manuel des procédures administratives a été élaboré et mis en œuvre, gage de transparence et de bonne gouvernance.
• Il a renouvelé le charoi automobile de l’OCC pour permettre le déplacement des agents sur terrain.
Des accusations sans preuves, des motivations douteuses
Aucune structure de contrôle ni l’Inspection Générale des Finances (IGF), ni la Cour des comptes n’a, à ce jour, émis le moindre rapport incriminant la gestion du DG Tshimanga.
Au contraire, les organes de contrôle collaborent étroitement avec le conseil d’administration, dans une synergie saluée par plusieurs institutions.
Les affirmations selon lesquelles l’OCC cumulerait des arriérés de salaires sont fausses et dénuées de toute base factuelle.
Les quelques retards de paiement sont directement liés à la situation sécuritaire tendue dans l’Est du pays, où des directions régionales comme Goma sont actuellement paralysées par des groupes rebelles.
Aucun contrat médical résilié : encore une intox
Autre exemple de désinformation : la prétendue résiliation des contrats avec les hôpitaux partenaires de l’OCC.
Là encore, l’intersyndicat s’est montré incapable de citer le moindre hôpital concerné, confirmant ainsi la nature purement spéculative et manipulatrice de leurs accusations.
Violation flagrante du droit syndical
Il est important de rappeler que, selon le Code du travail congolais et la convention collective propre à l’OCC, seul le syndicat élu est reconnu comme interface légitime entre les travailleurs et la direction.
En contournant cette voie, l’intersyndicat a choisi la confrontation et la manipulation, au détriment de la procédure légale.
Un patriote au service de la République
Ce n’est un secret pour personne que le DG Étienne Tshimanga est un homme de mission, un serviteur loyal de la République qui exécute avec détermination la vision du Chef de l’État Félix Tshisekedi, dans la droite ligne du redressement des entreprises publiques.
Selon des sources internes à l’UDPS, le DG Tshimanga fait partie des cadres d’entreprise qui soutiennent activement la stabilité et l’expansion du parti au pouvoir, par leur gestion exemplaire et leur contribution silencieuse mais efficace.
Le vrai combat : préserver l’intégrité d’une institution d’État
Dans un contexte où la RDC a besoin de cadres intègres et réformateurs, il est essentiel de ne pas céder à la manipulation politique ni aux intérêts individuels déguisés en luttes syndicales.
Le peuple congolais a besoin d’institutions fortes, et l’OCC, sous la direction d’Étienne Tshimanga, est sur cette voie.
Le bilan ne ment pas. Les faits parlent. Les rumeurs s’effondrent.
Soutenir le DG Étienne Tshimanga, c’est soutenir la rigueur, la réforme et l’honneur du service public congolais.
Franck Mubeneshay